Paresseuse
Rhhhhhhhh
Et encore c’est un joli mot, je trouve que je suis une énorme flemmarde et j’ai beau me persuader que non en travaillant beaucoup depuis toujours je n’arrive plus à me berner.
J’y pensais l’autre jour en contemplant ma jolie petite trousse de feutres à dessin bien propre et parfaitement inutilisée depuis des années. Le dessin j’ai toujours aimé et je me suis pourtant découragée à chaque fois que je m’y suis mis. En école d’arts appliqués je trouvais tout ce que je faisais super moche et je complexais pas mal, je me suis donc rattrapée sur la photo et je travaillais beaucoup en 3D pour compenser.
Je crois que j’ai du mal avec le matériau de base de type “page blanche”, partir de rien et créer quelque chose de toute pièce. La photo par exemple c’est plus confortable, on ne part pas “vraiment” de rien, quoi qu’on fasse et même si c’est raté il y a un résultat visuel qui est là et bien là. Et puis il suffit de voir les choses et de les capturer, on ne les crée pas vraiment. Ensuite on peaufine tout doucement sa technique comme un mur qu’on passe au papier de verre. Bien entendu ça ne s’applique pas à la photo studio qui est un peu l’équivalent de la page blanche pour un photographe (d’ailleurs, j’ai horreur de ça, je fuis dès qu’on me propose une séance dans un studio).
Je crois que c’est comme plein de choses, je déteste passer par une phase où c’est pas très joli. Comme quand on fait un smocky eye et qu’avant l’estompage on est affreuse, en général j’abandonne là. Le dessin c’est ça pour moi, je ne supporte pas la médiocrité de mes dessins en attendant d’avoir un style affirmé.
Je crois que je suis plus une peaufineuse, j’ai besoin de partir de quelque chose et de l’améliorer ensuite ou aider à le révéler. Partir de rien m’angoisse trop et demande peut-être un travail un peu trop important pour la flemmarde que je suis.
Je ne sais pas si je suis très claire et si cette réflexion est très intéressante mais je me demande s’il y a d’autres créatifs qui contournent l’angoisse de la page blanche comme moi de cette manière 😉
Crédit photo : Searching for Tomorrow
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Pour moi, l’angoisse de la page blanche a toujours été littérale. Mes profs m’ont toujours félicitée pour mes écrits, j’ai même fait des études littéraires, pourtant j’ai détesté écrire. J’aime lire, étudier les bouquins, mais disserter sur ma page blanche, ça m’angoisse. Je me mettais au bureau intéressée par le sujet, mais fatiguée d’avance par l’idée d’entamer l’écrit, même si le résultat final n’était pas mauvais. Mes études actuelles demandent plus d’apprentissage, et même si la liberté de réflexion me manque, c’est parfois rassurant de partir de quelque chose d’appris…
je découvre ton blog et je me sens bien ici 😉
comme toi j’ai l’angoisse de la page blanche, avec la photo c’est plus facile, on part de quelque chose
et on le montre avec nos yeux.
au plaisir de te relire.
je découvre ton blog et je me sens bien ici 😉
comme toi j’ai aussi l’angoisse de la page blanche, c’est vrai qu’avec la photo, on part de quelque chose et on essaye de le montrer avec nos yeux, c’est plus facile!
Je travaille en atelier d’une façon qui pour d’autres artistes peut sembler une mission impossible. Mais je dis toujours que je travaille de 15 à 18 heures d’affilée, ce qui est physiquement impossible. Toutefois, je trouve que dans l’atelier, en me servant de ma vision périphérique et en permettant, si on peut dire, à une œuvre de parler à une autre, ça m’aide plutôt que de se concentrer sur une seule pièce…pour moi, travailler sur une seule pièce sans interruption, ça ne marche pas parce qu’à un certain point, l’œuvre devient le maître et j’en suis le serviteur. Donc, si je permets à une conversation, à la fois historique et formelle, de se dérouler dans le studio, c’est là que, selon moi, le meilleur art est produit. Ce que fait la dégoulinade c’est qu’elle interrompt la surface pour que vous ne tombiez pas tout simplement dans …la fenêtre panoramique sur une autre réalité. J’aime l’idée du grain dans le bois et avec la dégoulinade on obtient quelque chose qui crée une sorte de voile entre nous et l’image qu’on projette. Et presque littéralement, s’il s’agit d’un voile, c’est comme tisser, le tissage de la surface du tableau avec la ligne et la couleur. Et pendant la réalisation d’un tableau, il y a parfois des centaines et des milliers de traitement à la dégoulinade, et aussi cette sorte d’accumulation de peinture à la surface. Mais c’est un genre de…c’est créer une surface tissée dans une certaine mesure.
Bonjour,
Par rapport au fait de partir de zéro, je ne sais pas si, artistiquement, c’est possible et l’étant, si ce n’est pas l’apanage d’un esprit vraiment supérieur. Genre créateur de génie. De fait, personnellement je n’arrive pas à créer de rien, ça me semble hors de portée.
Même le dessin ou le graphisme d’une page doivent s’inspirer de quelque chose, une tendance, une image vue dans Pinterest…
Peut-on vraiment partir de zéro ?? Grande question ! (ce n’était peut-être pas le sujet, en fait ;-).
La procrastination c’est d’acheter de beaux crayons et de les admirer longtemps dans leur pochette.
Voilà, bonne journée
J’aime beaucoup ton article, je me reconnais tellement dans ces mots… J’ai écris un article récemment sur le lâcher prise et comment apprendre à être content de soi. J’ai aussi comme toi la peur de mal faire et d’être jugée parce que l’impression de me dévoiler sur le papier avec mes dessins. Le plus dur c’est de se lancer en réalité. En tout cas j’adore tes photos, tu es très talentueuse et vu tout ce que tu fais cela m’étonnerait que tu sois si paresseuse 😉 A très vite et merci de ce blog que j’adore!
Je comprends tout à fait ce que tu ressens, j’ai le même sentiment depuis des années mais comme je l’ai lu dans quelque uns des autres commentaires, je suis aussi d’avis que ce n’est pas seulement par paresse mais qu’il y a souvent autre chose derrière cette angoisse de la page blanche. Je pense que cette problèmatique cache un perfectionnisme trop aigu et une intransigeance à notre propre égard gouvernés par la peur de l’échec et/ou un énorme besoin de reconnaissance personnelle que l’on est incapable (ou peu) de se donner à soi-même, souvent parce qu’on ne l’a pas eu enfant. En ce qui me concerne, j’ai aussi besoin d’un point de départ pour créer dans certains domaines mais pour les bijoux, j’arrive depuis quelques années à suivre mon instinct totalement sans avoir peur de faire quelque chose de laid et à être heureuse du résultat. C’est aussi venu par l’acquisition de l’expérience… Sans aucun doute aussi parce que j’ai justement la reconnaissance d’un-encore rare- public face à mon travail… Mais cette année, le fruit est mûr, je me lance en tant qu’auto-entrepreneur…. J’aurais mis le temps, presque 10 ans! Mais je pense que progresser et avancer dans la vie, c’est aussi accepter ses propres défauts et imperfections, physiques autant que de caractère et faire de ces derniers une force au lieu de complexer et de perdre du temps à hésiter. Evidemment, c’est plus facile à dire qu’à faire, mais en être conscient, c’est déjà faire un pas en avant même si personne ne voit le progrès à part nous… Pour le dessin, j’ai une technique toute personnelle pour surmonter mon intransigeance et manque de patience envers moi-même, tu peus peut-être essayer la même chose: le dessin automatique… Plutôt que de partir avec une idée précise en tête et être confrontée à un résultat trop médicocre à mes yeux je laisse le crayon courir sur la page et dessine en écoutant la musique qui me va sur le moment. Dans ce cas-là, j’arrête de réfléchir et au moins j’ai un crayon dans les mains. Ca donne envie dele faire plus souvent, c’est satisfaisant et ca détend. C’est toujours quand j’arrête de penser et que je fais que j’ai le meilleur résultat. Il faut lâcher prise sur les imperfections comme dit Timai, c’est valable pour tout je dirais! Et puis, la régularité, il n’y a que ca de vrai pour apprendre et voir les progrès faits… J’espère que ce que j’ai écrit servira! Bisettes de Vienne en Autriche, tu es lue de loin 🙂
<3
Salut !
Olala je crois que c’est la première fois que je lis un article de blog et que je me dit “arrete c’est Truman Show ou quoi.. elle a écrit sur moi !” Pour de vrai hein ! Sérieusement, tu décris à la perfection ce sentiment, et ça fait du bien de savoir, grace à l’article et tous ses commentaires, qu’il y a plein de gens dans ce cas là, et des gens qui font des choses biens ! pfiou…
Je me lance à peine comme free-lance, et je dois te dire que je suis au maximum de cette paresse, je-ne-suis-pas-assez-douée, de-toute-facon-il-y-a-10 000-personnes-qui-le-font-mieux-que-moi … du coup je me suis meme crée un blog dans l’espoir que cela m’aide à affronter un peu tous les jours la page blanche comme tu la décris si bien.
Bonne continuation, je te lis régulièrement et je trouve ton blog super alors continue !
bonjour … rien à voir mais je ne savais pas ou te le signaler (pardon si c le mauvais endroit) mais as -tu vu qu’une de tes photos était sur le site apartment therapy? ça m’a fait sourire et peut être ça te fera plaisir de le savoir http://www.apartmenttherapy.com/diy-decor-trend-handmade-storage-ladders-199132
et pourtant quand tu écris si bien, où est passée l’angoisse de la page blanche ?
Trop cool le fien!
Je me reconnais tellement…on est fichu!ahaha
Merci pour le petit secret!!! je te trouve très créative tout de même et je me reconnais complètement dans ce que tu dis! Moi aussi j’ai fais des études d’arts appliqués et aujourd’hui n’ayant plus le “cadre créatif” j’ai beaucoup de mal à m’y remettre!je ne trouve pas les bons outils, le bon moment…je crois que tout simplement j’ai peur alors, je ne fais pas grand chose…mais mes petits carnets pleins d’idées ne m’ont pas abandonnés! Même si tout comme toi, je pars plus d’une base pour me lancer: un meuble à retaper, un papier à bidouiller….
j’ai ressenti l’angoisse de la page blanche tout le long de ma scolarité ( filière arts appliqués aussi) et le seul truc qui m’aidait à surpasser cette angoisse, c’était la date du rendu. quand je n’avais plus le temps de réfléchir, de cogiter, et d’angoisser, je n’avais plus qu’à foncer, et m’activer. Bien sûr, travailler à l’arrache n’est pas la meilleure solution, et maintenant que je n’ai plus de prof pour m’imposer de dead line, mes projets prennent beaucoup plus de temps à se finaliser. Je n’ai pas beaucoup de volonté, mais j’y travaille.
Cette semaine, je suis tombée sur ces quelques mots sur pinterest: “pour être créatif, il faut surmonter la peur de se tromper” j’ai trouvé ça tellement vrai! moi aussi j’ai dessiné pendant des années, et je me suis toujours trouvée très nulle et sans style.
Mais maintenant, j’ai envie de m’y remettre, parce que je sais que, comme pour le nail art ou la photographie, c’est la pratique qui fait progresser.
Il ne me reste plus qu’à trouver la motivation…
Aaaaah ! Comme je te comprends !!
De mon côté je suis maquilleuse de métier, et je suis comme toi quand un visage “nu” arrive sur ma chaise, je panique un peu ! Alors ça peut faire flipper car ça fait quand même 8ans que je suis sorti de l’école ! Mais en faîtes la panique laisse aussi vite place à l’excitation, car il faut faire quelque chose et réfléchir vite, du coup quand on se lance et bien ça vient tout seul, mais il faut se lancer et c’est bien la le problème !! Mais ne désespère pas, c’est certain que tu en est capable, je suis ton blog depuis pas mal d’année maintenant, et quand je vois la façon dont tu t’améliores en photos et en idées toujours aussi fraîche et toujours aussi nouvelle il n’y a pas de raison que tu ne t’en sortes pas avec une page blanche 😉
Après je suis comme toi, mon truc préféré c’est de peaufiner c’est ce qu’il y a de plus rigolo mais aussi de plus compliqué, passer par la phase moche pour faire un smocky tout le monde sait faire après le dégrader c’est une autre histoire mais tu as toutes les compétences pour y parvenir !
Il n’y a pas de secrets, il faut se lancer. La technique, le style ça vient en pratiquant, je ne t’apprends rien en disant ça. Tu serais étonnée de l’accueil que pourrait avoir une série de tes dessins auprès de tes lecteurs. Après, comme dans tout, tes dessins pourraient ne pas plaire à tout le monde, mais j’imagine que là aussi je ne t’apprends rien, et qu’en 8? années de blog tu as appris à prendre de la distance par rapport au qu’en dira-t-on.
Il y a un dessinateur que j’adore et dont tu as sûrement du entendre parler: Manu Larcenet, qui est le premier à ne pas être satisfait de ses travaux après les avoir terminé. Pourtant, selon moi, c’est un des plus grand bédéiste contemporain. Ce n’est pas du Leonard de Vinci ce qu’il fait, mais ses dessins sont expressifs, ils marquent l’esprit, et je pense que quand tu es artiste c’est un peu ça qui est important. Moi c’est ce qui m’importe en tout cas, j’ai besoin de ressentir quelque chose. Comme tu dis, sors de ta zone de confort et fais nous une petite illustration 🙂
Je suis aussi un peu comme ça dans mes travaux de couture : je remplace par exemple les fermetures à glissière par du scratch ou du gros élastique, c’est plus facile à poser.
C’est tout à fait ça !
J’étais en école d’arts appliqués (communication visuelle option graphisme édition publicité) et au final ça m’a tellement bloqué, la création à partir de rien, “s’exposer” et s’assumer en fait dans un sens, que j’ai tout arrêté et suis partie en droit (rien à voir quoi). Mais j’ai toujours continuer la photo, à moins de faire de réelles mises en scène et de sortir tout ce qu’on a dans la tête, ça a un côté moins personnel et intrusif.
Pourtant, c’est maintenant que tout ça n’est plus une obligation que j’ai envie de dessiner et de faire des choses, parce que je me rends de plus en plus compte que ce qui est amusant dans le dessin, c’est justement les erreurs, le laisser aller. Le but n’est pas d’être un grand dessinateur ou de faire Emile Cohl, mais de s’amuser et d’exprimer des choses, d’avoir son trait à soi qu’on reconnait.
Ne pas être “bon” ou “régulier” n’est pas si important en dessin, tout ce qui compte au final c’est de se faire plaisir et de suivre ses envies. Le rendu “joli” vient après, et automatiquement, avec l’accumulation de dessins : un petit carnet rempli rendra toujours, toujours bien.
alors, j’ai un avis bien tranché sur cette question: je suis une grosse flemmarde, et je n’ai pas l’angoisse de la page blanche. A mon sens, cela n’a aucun rapport; ça serait plutôt une question de caractère, fonceuse ou pas? spontanée ou réfléchie? Les exigences se placent là où on leur laisse de la place, héhé!
Quand je dessine, je fais un petit trait sur la feuille. Ca me “désangoisse”.
Ah mais si ma p’tite dame je vois très bien ce que vous voulez dire!
J’adore aussi dessiner et peindre, mais j’ai arrêté, car trop frustrée de ne pas arriver à faire lâcher-prise à mon imagination. Trop perfectionniste et sûrement un peu obsessionnelle, j’ai besoin d’avoir un cadre (ou une référence) pour commencer. Si je commence avec une page blanche, plein de questions: dans quoi je m’embarque? mais si je dessine ça, ça va pas faire foirer le reste? comment j’organise mon truc? et surtout, à quel moment je peux considérer mon dessin achevé? Pas facile vu que je suis une éternelle insatisfaite.. (seulement vis-à-vis de moi, c’est ballot, puisque je vais vivre avec moi jusqu’à la fin de mes jours!).
L’imagination et le lâcher-prise, ça se travaille je pense. J’ai souvent lu qu’il fallait, tout comme les écrivains, se forcer tous les jours à faire dans un carnet un petit croquis. J’ai commencé, j’ai arrêté, parce que trop flemmarde…
Alors je te souhaite plein d’imagination!
Le combo flemmarde – perfectionniste, le même que moi…
Je comprends parfaitement ton ressenti, la page blanche ça me connait. Du coup je fais tout dans l’urgence quand je n’ai plus le temps de me laisser dépasser par mes peurs.
La page blanche, ça n’est jamais agréable, mais parfois je m’y confronte…
je suis fan de la photo du chiot.
kiss, am x
http://www.leblogdeleffrontee.fr
Je me reconnais bien dans cette angoisse de la page blanche.
À l’époque, j’aimais beaucoup dessiner mais les résultats étaient vraiment bof, je dessinais mal, il y avait pleins de trucs que je n’arrivais pas à bien dessiner et bon s’entraîner durant plusieurs années à dessiner, mouais non, trop de boulot pour une flemmarde comme tu le dis.
Du coup, je me suis mise à la photographie moi aussi. 😉 (Bien qu’en ce moment, c’est un peu ramolli).
Pareil pareil, j’avais du mal à assumer mes dessins tout moches alors que mes photos moins. Pourtant quand je regarde mes photos ne serait-ce que de l’an dernier je les trouve vraiment pas super…
Je me retrouve à 100% dans ton article ! D’ailleurs je me pose encore la question si c’est la flemme ou le manque de confiance en moi, l’un servant de prétexte à l’autre et vice versa, mais comme toi je préfère peaufiner, arranger, que de démarrer de rien.
Ou simplement je pense qu’il y a toute sorte d’artistes et de créations.
C’est un vrai sujet de réflexion que tu lances là.
Bises et belle année !
Bonjour, c’est mon 1er commentaire, mais je suis ton joli blog depuis perpette! Ca me rassure un peu de lire que la page banche est un peu intimidante pour toi aussi! Car je dessine et m’exerce aux planches de BD et c’est vrai que c’est à chaque fois une petite bataille avec moi-même pour produire quelque chose, une image, une histoire.. J’aime cependant l’exercice, et quelle satisfaction d’aller au bout d’une production! C’est inégalable! Et je dis que ta réflexion me rassure un peu, car effectivement tu as ta propre créativité, ça ne fait aucun doute, et savoir que ça ne se fait pas sous le signe d’une évidence, d’un claquement de doigt, me conforte dans l’idée que créer nécessite un vrai travail et n’est pas une activité vouée aux seuls chanceux qui ont un potentiel tout de même à la base.. je veux dire qu’il y a certainement des plus ou moins inspirés,mais quoiqu’il en soit la démarche nécessite un vrai travail pour aboutir à quelque chose.. (pas sûre d’être hyper clair, m’enfin..!! ). Plein d’encouragement pour poursuivre ce que tu mènes avec soin et talent!
Plein d’encouragements pour toi aussi ! Tu fais un métier pas si facile !
Même chose ! Même si tout le mode dit le contraire, je me trouve super paresseuse et je dois toujours ruser ou me lancer des défis pour arriver à me faire faire quelque chose… Et si je suis traductrice, et pas écrivain ou journaliste, je crois que ça part du même sentiment d’inquiétude face au vide avant la création. Mais bon, on s’en sort pas trop mal je crois 🙂
Après il faut se mettre des ptits coups de pied aux fesses pour sortir de sa zone de confort mais je suis sûre qu’on peut y arriver en acceptant un jour un projet un peu ambitieux.
Je suis un peu comme toi, je préfère contourner la page blanche. J’ai toujours beaucoup d’idées mais une fois devant l page blanche pour les réaliser cela devient plus difficile. Cela dit tu n’en es pas moins une super créatrice, il n’y a qu’à voir ton blog 🙂
Bonne journée
Oui ça n’empêche pas de créer mais je me dis que je vais un peu vers la facilité et j’aimerais bien progresser 😉
Je ne comprends que trop bien ton ressenti. Même si je rêve de l’affronter cette page blanche, ce “rien du tout”, cette création qui sort vraiment que de ta tête.
Un jour peut-être comme on dit !
Bon vendredi 🙂